Le surfeur Job Verpoorte, qui se fait appeler "Jabali" dans la vie de tous les jours, fabrique en fait des planches de surf fonctionnelles en bois qui peuvent traverser la vie comme des œuvres d'art.
Pendant le virus de la couronne, il s'est demandé s'il pouvait fabriquer une planche de surf à partir de "déchets", afin de participer au concours mondial "surfrider upcycle".
Les surfeurs se soucient de la nature, mais toutes les planches de surf sont non biodégradables et faites de polymères...
Depuis quelques années, on trouve même sur le marché des cires de surf qui sont biodégradables et qui, par exemple, ne peuvent pas endommager les récifs et les coraux.
Il a consulté Frank Vanleenhove et est reparti avec une planche à voile abandonnée sous le bras.
Il a fallu beaucoup de sueur, de sang et de larmes pour démonter l'extérieur dur du Fanatic 1998, pour enlever le mât et les repose-pieds et pour raccourcir le noyau en polystyrène pour une planche de surf à vagues de 5'11".
Puis sont venus les déchets :
* rebuts de balsa
* Rideaux clairs des années 70, et placage d'emballages de camembert pour renforcer et décorer le pont supérieur (voir la bande de bois au milieu du pont supérieur).
* néoprène recyclé et une caisse de bière de luxe (straffe hendrik 2017 oak-aged quadruple) pour protéger le nez et la queue,
* restes de fibre de verre et greenpoxy pour rendre le tout étanche.
* Un tonneau de bière en plastique et des bouchons de bouteilles de lait pour faire un aileron.
C'est étonnant que, compte tenu des ingrédients, il s'agisse d'une planche de surf...
Cette contribution a reçu une mention honorable du jury du concours upcycle et le résultat peut être vu à Surfers Paradise dans Knokke-Heist.
Vous trouverez de plus amples informations sur Jabali Surfboards à l'adresse suivante
* https://www.jabalisurfboards.com
* https://www.instagram.com/jabalisurfboards/
* https://www.facebook.com/JabaliBoards
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